Comment souhaitez-vous présenter aux internautes de du Blog ?
Mon nom c'est Mohamed Bello,je suis de la promotion 2000-2003 du lycée d'Excellence de Niamey. Je suis économiste de formation et enseignant-chercheur à la Faculté de Droit, d'économie et de Gestion de l'Université de Tahoua (Niger).
Parlez nous brièvement de vos 3 années passées au Lycée d’Excellence
J'ai passé mes trois années d'études dans une parfaite symbiose, entre études et distractions. Je me souviens encore des séances d'exercices ("Rossa") en groupe ou en solo, ou de nos distractions mémorables sur le terrain de football de l'EMIG, le soir après de dures journées de cours. On arrivait quand même à réussir une combinaison, disons optimale entre le temps consacré aux études et le temps de loisirs.
Pouvez nous parlez de deux événements qui vous ont marqués au LEX ?
Durant mon séjour au LEX, il n'y a pas eu d’événement marquant à part celui du 21 février 2001 qui se traduit par une grève des étudiants à l'Université de Niamey. En ce jour, certains étudiants étaient pourchassés par les forces de l'ordre jusque dans l'enceinte de l'EMIG où ils avaient trouvé refuge. Cela a provoqué une panique généralisée chez la communauté lexoise que nous étions. C'était vraiment terrible.
Quelles étaient les conditions de vie et d'études pendant votre séjour au Lex ?
Les conditions étaient relativement acceptables. La vie sociale était agréable et conviviale, on s'intègre assez facilement dans la communauté des élèves venus pourtant d'horizons divers, de toutes les contrées du Niger. On bénéficiait également d'un encadrement sans faille s'appuyant sur l'expérience d'un corps professoral relativement averti. Bref, c'était vraiment bien.
Quel a été votre parcours académique après le LEX ?
Après l'obtention de mon Bac, je me suis inscrits à la FSEJ de l'Université Abdou Moumouni jusqu'à l'obtention de ma Maitrise en économie. Par la suite j'ai fait un master professionnel en évaluation des projets de développement avant de poursuivre mes études à l'école doctorale d'économie et de gestion de l'université d'Abomey calavi, dans le cadre du programme Inter-universitaire de troisième cycle en économie. Cette formation a été sanctionnée par un DEA(Diplômes d’études Approfondies) en Macroéconomie Appliquée. J'ai poursuivi mes études doctorales à l'école Doctorale des Sciences de l'Homme et de la Société (ED-SHS) de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis où j'ai soutenu ma thèse de doctorat en sciences économiques.
Parlez-nous de vos expériences professionnelles ?
Après l'obtention de mon DEA en Macroéconomie Appliquée en 2011, j'ai servi au département économie de l'université Abdou Moumouni de Niamey en qualité de Chargé des Travaux Dirigés. Un an après (décembre 2012), j'ai obtenu un contrat d'enseignement à la FADEG de l'Université de Tahoua où j'exerce actuellement mes taches d'Enseignant-chercheur permanent en collaboration avec d'autres chercheurs des universités publiques sur diverses questions relatives à mon domaine de compétences.
Avez-vous des conseils pour les futurs bacheliers ?
Dans la poursuite de leurs études supérieures, je conseille vivement à chaque futur bachelier de s'orienter en fonction de son ambition. Je crois bien qu'il n'est plus nécessaire de quitter le pays pour se voir attribuer une inscription dans un domaine qui ne relève pas de votre ambition. Nous avons assez d'offres de formation dans nos universités publiques au Niger, et les lexois qui s'y inscrivent font vraiment la fierté du LEX, et de nous autres enseignants, anciens lexois par la qualité de leurs résultats académiques. Pour preuve, j'ai tenu dans mon université deux jeunes lexois qui sortent régulièrement majors de leurs promotions.
Mon nom c'est Mohamed Bello,je suis de la promotion 2000-2003 du lycée d'Excellence de Niamey. Je suis économiste de formation et enseignant-chercheur à la Faculté de Droit, d'économie et de Gestion de l'Université de Tahoua (Niger).
Parlez nous brièvement de vos 3 années passées au Lycée d’Excellence
J'ai passé mes trois années d'études dans une parfaite symbiose, entre études et distractions. Je me souviens encore des séances d'exercices ("Rossa") en groupe ou en solo, ou de nos distractions mémorables sur le terrain de football de l'EMIG, le soir après de dures journées de cours. On arrivait quand même à réussir une combinaison, disons optimale entre le temps consacré aux études et le temps de loisirs.
Pouvez nous parlez de deux événements qui vous ont marqués au LEX ?
Durant mon séjour au LEX, il n'y a pas eu d’événement marquant à part celui du 21 février 2001 qui se traduit par une grève des étudiants à l'Université de Niamey. En ce jour, certains étudiants étaient pourchassés par les forces de l'ordre jusque dans l'enceinte de l'EMIG où ils avaient trouvé refuge. Cela a provoqué une panique généralisée chez la communauté lexoise que nous étions. C'était vraiment terrible.
Quelles étaient les conditions de vie et d'études pendant votre séjour au Lex ?
Les conditions étaient relativement acceptables. La vie sociale était agréable et conviviale, on s'intègre assez facilement dans la communauté des élèves venus pourtant d'horizons divers, de toutes les contrées du Niger. On bénéficiait également d'un encadrement sans faille s'appuyant sur l'expérience d'un corps professoral relativement averti. Bref, c'était vraiment bien.
Quel a été votre parcours académique après le LEX ?
Après l'obtention de mon Bac, je me suis inscrits à la FSEJ de l'Université Abdou Moumouni jusqu'à l'obtention de ma Maitrise en économie. Par la suite j'ai fait un master professionnel en évaluation des projets de développement avant de poursuivre mes études à l'école doctorale d'économie et de gestion de l'université d'Abomey calavi, dans le cadre du programme Inter-universitaire de troisième cycle en économie. Cette formation a été sanctionnée par un DEA(Diplômes d’études Approfondies) en Macroéconomie Appliquée. J'ai poursuivi mes études doctorales à l'école Doctorale des Sciences de l'Homme et de la Société (ED-SHS) de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis où j'ai soutenu ma thèse de doctorat en sciences économiques.
Parlez-nous de vos expériences professionnelles ?
Après l'obtention de mon DEA en Macroéconomie Appliquée en 2011, j'ai servi au département économie de l'université Abdou Moumouni de Niamey en qualité de Chargé des Travaux Dirigés. Un an après (décembre 2012), j'ai obtenu un contrat d'enseignement à la FADEG de l'Université de Tahoua où j'exerce actuellement mes taches d'Enseignant-chercheur permanent en collaboration avec d'autres chercheurs des universités publiques sur diverses questions relatives à mon domaine de compétences.
Avez-vous des conseils pour les futurs bacheliers ?
Dans la poursuite de leurs études supérieures, je conseille vivement à chaque futur bachelier de s'orienter en fonction de son ambition. Je crois bien qu'il n'est plus nécessaire de quitter le pays pour se voir attribuer une inscription dans un domaine qui ne relève pas de votre ambition. Nous avons assez d'offres de formation dans nos universités publiques au Niger, et les lexois qui s'y inscrivent font vraiment la fierté du LEX, et de nous autres enseignants, anciens lexois par la qualité de leurs résultats académiques. Pour preuve, j'ai tenu dans mon université deux jeunes lexois qui sortent régulièrement majors de leurs promotions.
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